Février éploré

J’ai ouvert par mon cœur la porte de ton âme
Envahie depuis de ta souffrance partagée
Traumatisée soudain de ton absence éplorée
Animée du don de tes mots et de tes larmes

Impatiente de pouvoir nous revenir apaisée enfin
Malgré nos colères ne comptant comme calmant
Existante car enfin rescapée de ce perfide néant